La petite sœur de Santiago, à 2h de la capitale, est plus spontanée, plus colorée, plus joyeuse. Ses cerros vivants, ses rues au dénivelé improbable et ses incontournables œuvres murales écrasées sous le soleil donnent un charme fou à Valpo (son petit nom). Monter un de ses antiques ascensor pour épargner quelque peu ses mollets, c’est s’assurer une vue imprenable sur l’océan.
Il y a dans cette ville une ambiance, une atmosphère créative et festive, de la musique et des dessins dans les rues, puis, lors de notre arrivée, à peine nos sacs déposés, une bière fraîche offerte par notre hôte. Un match Équateur-Chili que les Chiliens ont lamentablement perdu (c’est pas complètement de leur faute, la balle dévie de sa trajectoire avec l’altitude… :-)).
On est ensuite partis prendre un peu l’air de la Campana, un parc naturel à 6o km. Un métro, un bus et un micro bus plus tard, nous arrivons au parc, on est samedi, il y a plein de familles et une ambiance sympa sur le chemin… Mais quand même, pour aller au sommet, ça n’a rien d’une promenade de santé… 1400 m de dénivelé positif pour se retrouver au Cerro la Campana, avec une vue incroyable sur les sommets andins enneigés. Une empanada sortie du sac là haut, c’est une merveilleuse récompense !
Retour à Valpo, où nous décidons de rester une nuit de plus … et tant qu’à faire dans un logement un peu plus cosy. Le temps de profiter encore un peu de la buena onda avant la suite du périple.
Magnifique ;-)
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